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Il a fallu procéder à de nombreux tests préliminaires afin de trouver le moyen idoine pour enlever la corrosion et les concrétions de la surface.
Des tests aux micro-jets d’air comprimé et aux technologies laser se sont montrés non appropriés à cause de la surface très hétérogène de l’œuvre.
Ces technologies n’enlevaient pas seulement les couches désirées, mais aussi les patines qui se trouvaient en dessous.
Pour les couches protectrices finales il a aussi fallu faire des essais préliminaires. Des petites plaques en cuivre ont été recouvertes de différents types de cires et de laques et ont été exposées aux éléments polluants pendant une durée de deux ans. On a pu constater qu’une couche d’Incralac® combinée avec une couche de cire agit le plus efficacement au niveau de la protection du cuivre.
Tous les essais techniques des matériaux ont été effectues par le Département de Conservation du Musée National Suisse.
Auguste Rodin
Raison des mesures de restauration
Le concept de la restauration
Etape 1
Le montage de la construction de support
La structur de la construction de support
La fixation de la construction de support
Perçage du socle
Le détachement du socle du sol et son soulèvement
Le déplacement à l’aide de palan électrique à chaîne
Vue du côté postérieur
Etape 2
Nettoyage et conservation du côté antérieur
Test préliminaires
Méthodologie d’enlèvement
Fixation à l’Incralac®
Les retouches
La couche protectrice
L’exemple «Battista»
Etape 3
Mesures entreprises sur le verso
La structure de support
L’échange de la structure de support inférieure et de la travée
Transport
La construction du cadre de transport
Le déplacement de La Porte de l’Enfer sur la semi-remorque basse